17 février 2016

dans la palud inondée, derrière la dune (3 photos)

1) non, non, je ne me suis pas baladé en Camargue mais dans la palud derrière la dune bordant la Baie d'Audierne, à Tréguennec et plus précisément du côté de l'ancienne usine d'extraction / concassage de galets de l'Organisation Todt. C'était le 10 février, le surlendemain de la tempête Ruzica et il y avait encore un peu de vent. A droite, à l'horizon, les phares de Penmarc'h...


2) toujours le 10 février. J'y suis retourné hier, 16 février, pensant qu'après la grande marée, la palud serait plus accessible... toujours autant d'eau, en fait. Tout là-bas, la chapelle de Tronoën

3) vers le nord, en contrebas de la levée où était installée la voie ferrée pour transporter les galets depuis le rivage jusqu'à l'usine. Je suis passé par ce chemin surélevé pour atteindre la plage où j'ai photographié la marée haute en fin de journée... A voir sur le prochain post

j'étais là :

15 février 2016

un mercredi matin (9 photos dont 1 gif)

1) à 8H à la pointe de Trévignon à Trégunc : gros coëfficient de marée mais la mer a déjà commencé à redescendre. Le ciel est relativement couvert, plus que je n'aurais voulu mais la lueur de l'aube est toutefois perceptible là-bas au dessus de Névez.


2) la houle de la tempête Ruzika s'est très nettement atténuée

3) pas très chaud, ce matin et les mitaines sont bienvenues

4) d'autant plus que des grains passent à l'intérieur des terres. Tout à l'heure, j'aurais droit à de la neige ondue alors que je roule vers Névez

5) avec 7 photos

6) avant d'aller à Trégunc, j'étais passé voir L'Odet à marée haute à Quimper vers 7H : pas de débordement aujourd'hui contrairement à la veille

7) je n'avais pas remarqué les différents éclairages

8) rendu blanc, rive droite

9) rendu jaune, rive gauche.

12 février 2016

file l'eau à Loqueffret (5 photos)

1) tout d'abord du côté du Rhundu ; grosso-modo, ce ruisseau descend le versant sud de la crête dominant le lac Saint-Michel dans les Monts d'Arrée. Le 1er rocher bien moussu m'a fait penser à une immense bestiole avec ses antennes.... même pas peur !

je suis là :


2) un peu plus en amont que la première photo

3) évidemment... un peu plus en aval que la première photo ;) Pour ces 3 photos, je me suis installé dans le lit du ruisseau

4) toujours à Loqueffret mais au chaos de Mardoul sur L'Ellez, rivière issue du lac Saint-Michel. Je m'y rend de temps en temps et aujourd'hui, le niveau de l'eau est relativement important sur les cuves de pierre

5) c'est là :

10 février 2016

gaffe à Ruzica (10 photos)

1) à Porscarn en Penmarc'h


2) À entendre son sifflement plaintif, cet huîtrier pie  n'appréciait qu'avec modération le spectacle, semble-t-il

3) à l'abri, relatif

4) je voulais faire… des poses longues et après avoir observé, trop peu, les lieux, je me suis d'abord installé au pied de la petite falaise afin d'avoir la pointe de La Torche en arrière-plan mais, de temps en temps, les vagues étaient nettement plus fortes et montaient beaucoup plus haut qu'à l'accoutumée et j'ai bien failli prendre un bain de pieds. J'ai donc changé de lieu lors d'un répit des vagues. Ici, évidemment, le reflux de ces vagues plus importantes ne m'aurait pas entraîné vers le large (d'autant plus que j'étais tout en haut de la grève, juste un bain de pieds) comme on peut le voir pour un couple de septuagénaires à Portsall sur une vidéo partagée sur le net (pendant les 2 minutes précédentes, pas de vagues comme celle qui va arriver)

je suis là :

5) à Lesconil, beaucoup de monde autour de moi mais personne sur la digue

6) heureusement

7) la lumière a été intéressante quelques instants

8)

9) le soleil se cache derrière un nuage

10) quand le ressac renvoyé par la digue rencontre la vague suivante

je suis là :

08 février 2016

cascade de Trogour à Plogonnec (11 photos)

1) L'autre jour, c'était la seconde fois que je me rendais sur les bords du Steir, sur la rive de Plogonnec, à Trogour, exactement. La première fois,  c'était le 15 octobre dernier mais il n'y avait qu'un mince filet d'eau dans la cascade que j'avais repérée sur ce site de randonnée en cherchant des balades le long des rivières de la région. Cette fois-ci, les bottes étaient vraiment nécessaires pour traverser la prairie longeant le Steir, prairie qui apparemment était inondée il y a encore peu car au retour de ma balade, le propriétaire m'a demandé s'il y avait toujours de l'eau. D'ailleurs, je n'ai pas pu me balader vers l'aval car là, la hauteur d'eau était vraiment encore trop  importante.

1 bis) juste pour comparer le débit par rapport au 15 octobre 2015...

2) Aujourd'hui, il y a juste  le débit qu'il faut et je ne regrette pas mon déplacement ;)

3) alors que je descendais le sentier sur le coteau, j'ai entendu un bruit ou plutôt des bruits bizarres, métalliques, avant de voir passer à travers les arbres un TER à une vitesse réduite, pas vraiment un bruit de train habituel. Peut-être franchissait-il un des nombreux ponts permettant à la voie de franchir les nombreux méandres de la rivière. Quand j'ai discuté avec le propriétaire de la prairie à mon retour à ma voiture garée près de sa ferme, il m'a demandé si je n'avais pas entendu le train et m'a expliqué que la voie  Quimper – Landerneau, en mauvais état, oblige une circulation à vitesse réduite. Dans ce secteur, la voie de chemin de fer a nécessité de nombreux  ouvrages d'art : ponts, tunnels encore en bon état, du moins, en meilleur état que la voie elle-même, avec de beaux parements en pierre de taille.

4) il doit bien y avoir 20 à 25 m de dénivelé en plusieurs ressauts

5) vers l'aval alors que je suis au pied des ressauts  à flanc du coteau : le niveau du Steir est encore bien haut

6) un de ces ressauts

7) ça y est, les rayons directs du soleil parviennent jusqu'au bas de la gorge du ruisseau

8) il faudra que j'essaye d'y aller tôt un matin, en espérant qu'il y ait un peu de brume et ce même niveau d'eau

9) là, je suis plus bas, au niveau de la prairie bordant la rivière

10) encore plus bas, pratiquement sur la rive. La pente du coteau est vraiment abrupte et je n'ai pas essayé d'aller voir plus haut. J'y retournerai sûrement en mettant de vieux vêtements que je n'aurais pas peur de salir ni abîmer...  quoi que, c'est peut-être un peu trop dur pour moi, nécessitant de me hisser en tirant sur mes mains. J'ai vu qu'il y a un chemin qui traverse le coteau à mi pente… faudra que j'aille voir s'il mène au haut de la cascade.

C'est là :